• Mon flipbook

         Lorsque j'ai commencé à créer ma leçon sur les états de l'eau, je ne savais pas vraiment vers où je me dirigeais ni quel aspect allait prendre ma synthèse. De nouveau, en fouillant un peu sur le net,  je me suis rendu compte que la plupart des synthèses qui reprenaient ce sujet étaient interactives. Je me suis donc dit que c'était idéal pour tester ce que nous avions appris en pédagogie, le flipbook.

         Pour mieux vous mettre dans l'ambiance de la leçon prévue pour les P1/P2, je vais vous montrer ma préparation sur les états de l'eau qui, au passage, s'est très bien déroulée. Je suis très heureuse d'avoir donné ce cours.  

     

         Pour réaliser mon flipbook, j'ai créé un PowerPoint reprenant les différentes étapes de la création de cette synthèse. Bien sûr, pour ne pas perdre trop de temps, j'avais déjà confectionné le carnet mais aussi coupé des étiquettes pour les P1.  

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

          Les étiquettes distribuées aux enfants.               Le PowerPoint mode d'emploi du flipbook.

     

         Comme dans toutes leçons, il y a certains éléments qui ont bien fonctionné dans ma préparation et d'autres moins. Voici ce que je retiens de cette préparation.

    • L’expérience en soi fut une réussite. Les enfants étaient hyper intéressés sur ce qu’on faisait suite à ma mise en situation qui était en rapport avec le Canada. 
    • Pour cette activité, c’était la première fois que j’avais les P1/P2 en classe, donc j’avais 21 élèves. Même si les enfants étaient éparpillés un peu partout dans les deux classes, je les ai bien gérés.
    • Une fois que les expériences furent finies, j’ai invité chaque groupe à venir expliquer au TN leur(s) technique(s). De cette manière, ils faisaient vivre leur expérience à leurs camarades. Les enfants ont pu mettre des mots sur ce qu’ils venaient d’expérimenter et ainsi verbaliser leur expérience, ce qui est assez important pour voir s’ils ont compris la matière.
    • Enfin, pour finir la leçon, j’ai lancé les élèves dans la construction d’un flipbook. Dès que j’ai montré le résultat de ce qu’ils allaient réaliser, ils n’ont pas pu s’empêcher de lâcher un « WAOUW ». J’ai donc réussi à motiver les enfants à réaliser une synthèse, ce qui n’est pas toujours facile. 
    • De plus, afin d’avoir assez de temps pour terminer la synthèse, j’avais déjà commencé à couper la plupart des éléments des P1 et une partie des P2. En effet, lors de cette activité, j’ai réalisé un peu de différenciation (les P2 devaient couper plus que les P1, ils devaient écrire alors que les P1 devaient dessiner…).  Sans oublier que les P2 allaient aider les P1 dès qu’ils avaient terminé une étape. De cette manière, j’ai responsabilisé les P2 et j’ai donné une chance aux P1 de ne pas se sentir lents face aux P2.  

    Mon flipbook

     

    • Lors de ma phase de mobilisation, j’aurais pu montrer des photos du Canada en hiver pour que cela soit plus concret.
    •  Lorsque j’ai lancé les expériences, je me suis vite sentie débordée car les enfants m’appelaient à droite et à gauche (ouvrir le robinet d’eau chaude, les radiateurs ne fonctionnaient pas…). Le chronomètre n’a donc pas été lancé de manière juste car certains avaient déjà commencé. Il aurait fallu que tout le monde se prépare et commence en même temps.  
    • Afin que l’eau de la bouteille mise dans le congélateur soit solide, j’aurais dû la laisser plus longtemps et aller la rechercher à la fin de l’heure.  
    • Pour le flipbook, j’ai eu un manque de temps. Il aurait fallu que je prévois plus de périodes pour cette synthèse ou que je coupe presque tous les éléments pour quelques enfants.

    Mon flipbook


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